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​textes_as Congrès d'orientation 2025 - Motion Action Syndicale

Pour signer la motion : action.syndicale@free.fr​ et pour la faire connaître, le présent site : http://action.syndicale.free.fr

Voir liste des signataires (régulièrement mise à jour) en bas de cette page ; 211 signataires au 23 avril 2025

 

Rassembler pour renforcer le syndicalisme

Action syndicale (AS), soutenue par la majorité des syndiqué·es au dernier congrès d’orientation, incarne un syndicalisme unitaire et rassembleur avec la volonté d’augmenter le nombre de collègues prêt·es à s’engager avec le SNESUP-FSU. AS a le souci permanent de construire des convergences pour élever le rapport de forces et être force de proposition dans l’Enseignement supérieur et la recherche (ESR). Ses militant·es s’adressent à toutes celles et ceux qui ont à cœur leur métier, les étudiant·es et la démocratie universitaire.

Renforcement et unité des organisations syndicales : une nécessité

Depuis deux ans, l’instabilité gouvernementale, la crise politique ouverte par le Président de la République à l’occasion des élections législatives anticipées et la flambée des idées d'extrême droite facilitée par les politiques menées par le gouvernement, ont rendu l'action syndicale unitaire cruciale. La progression des forces conservatrices et réactionnaires, et notamment à la tête de la première puissance mondiale, et la multiplication des conflits armés mettent en danger les démocraties et la paix dans le monde. Le renforcement des organisations syndicales et leur unité sont capitaux pour défendre avec plus de force les droits et les libertés de toutes et tous, porter la démocratie sociale, répondre à l’urgence écologique et agir pour une paix juste et durable.

Franchises universitaires, libertés et statuts : des droits à protéger

Aujourd’hui, la communauté universitaire est protégée par les franchises universitaires. Celles-ci font de l’université un lieu de débats pluriels, ouverts, dont aucun sujet n’est exclu, en mettant en place les conditions pour que les opinions et les connaissances puissent s’exprimer, se confronter et s’enrichir, dans le respect de la loi. Aux universités qui doivent rester des espaces protégés contre toute ingérence, s’ajoute la liberté d’expression des enseignant·es et des enseignant·es-chercheur·es (EC) dans l’exercice de leurs fonctions d’enseignement et de recherche, les EC, bénéficiant, en outre, d’une pleine indépendance, protégée constitutionnellement. Au fondement de la capacité́ à produire du savoir et à le diffuser, cette liberté dérange et subit des attaques frontales, aux États-Unis, en Argentine, etc., mais aussi en France. Liberté académique et franchises universitaires sont des droits qui doivent être protégés et défendus contre tout affaiblissement.

Par ailleurs, le cadre réglementaire protecteur, qui permet l’exercice de nos missions de service public, est attaqué et grignoté, d’abord par la LRU puis par l’ordonnance de 2018 sur les regroupements expérimentaux (EPE) et l’acte II de l’autonomie. Le fonctionnement des universités est profondément transformé et minore la place des représentant·es des personnels et des étudiant·es dans les instances. L’appellation d’université recouvre désormais des réalités extrêmement diverses, masquant la mise en place d’un ESR à plusieurs vitesses aux effets délétères.

Construire la mobilisation pour gagner

Les lois de finances austéritaires des deux dernières années ont opéré une saignée inédite dans le budget de l’ESR et 80 % des établissements universitaires publics ont fini l’année 2024 en déficit, dégradant dangereusement nos conditions de travail. Ces coupes franches se couplent avec la création des BUT, la réforme des INSPE, et les évaluations de l’HCERES pour la vague E aussi brutales qu’incohérentes. Dans le même temps, les effectifs des formations privées, choyées par le gouvernement, s’envolent et constituent désormais plus d’un quart des étudiant·es.

L’ESR public a besoin d’un budget ambitieux. 8 milliards d’euros sont nécessaires pour revitaliser la démocratisation de l’enseignement supérieur, développer une recherche publique libre, indépendante des lobbies, sur tout le territoire, mais également pour rénover le bâti universitaire au regard des enjeux écologiques et climatiques, revaloriser les rémunérations de tous les personnels - vacataires, contractuels ou titulaires -, mettre fin à la précarité croissante et atteindre enfin l’égalité femmes- hommes. La revalorisation envisagée uniquement par l’indemnitaire - négligeant qui plus est les enseignant·es du second degré, les vacataires et les non titulaires - exacerbe les inégalités. AS refuse de tomber dans le piège du repli sur soi, de la division et de la concurrence entre les personnels. Nous devons gagner, ensemble, l’augmentation du point d’indice d’au moins 10% pour tout·es, la stabilisation et la titularisation des contractuel·les sur missions pérennes ainsi que la revalorisation des heures complémentaires et des vacations, toujours payées sous le SMIC horaire. AS revendique également une protection sociale renforcée et un système de retraite solidaire permettant des pensions de haut niveau pour toutes les générations, et donc l’abrogation de la réforme de 2023, l’abandon du report de l’âge du départ à 64 ans et une prise en compte des années d’études et d’activité à l’étranger dans le calcul des pensions.

S’engager pour une université exigeante, humaniste et collégiale

Face aux nombreuses attaques auxquelles l’université fait face, il est urgent d’obtenir les moyens pour faire vivre ce qui la rend attractive et enthousiasmante et qui nous rend fier·es d’en faire partie. Une université exigeante, collégiale et profondément humaniste, émancipatrice et ouverte à tout·es sans discrimination. Ces éléments nourrissent notre engagement professionnel et l’engagement militant qui nous pousse à défendre et à promouvoir le service public de l’ESR à un moment où il subit des attaques d’une rare violence.

A la tête de la direction nationale, les militant·es AS s’engagent en ce sens dans les instances élues garantes de la démocratie universitaire et de la protection des personnels (CNU, CAP, CNESER, CSA et leurs formations spécialisées, CoNRS, etc.), au sein des instances du SNESUP et de la FSU, de l’intersyndicale, tout comme dans les établissements où l’action quotidienne se mène.

Lucides sur les batailles à mener, les militant·es d’AS restent déterminé·es à les amplifier pour obtenir de véritables avancées sociales pour toutes et tous. Pour cela, il est nécessaire de renforcer et faciliter la syndicalisation, particulièrement chez les jeunes et les non titulaires, et de continuer à ancrer la réflexion et l’action à la fois sur la prise en compte du quotidien des collègues et sur la situation de crises sociale, économique et écologique que traverse le pays.

Pour renforcer la capacité d’action du SNESUP-FSU, votez Action Syndicale !

Premiers et premières signataires (la liste sera mise à jour régulièrement) :

Laetitia Abel-Tiberini (Marseille) ; Annabelle Allouch (Amiens) ; Chantal Amade-Escot (Toulouse 2, R) ; Jean Amar (SFR 94, R) ; Bassir Amiri (Besançon) ; Amal Aribi (Evry) ; Thierry Arnal (Valenciennes) ; Michèle Artaud (INSPE Aix-Marseille) ; Philippe Aubry (Sorbonne U) ; Lilian Aveneau (Poitiers) ; Anne Balansard (Aix-Marseille) ; Georges Barakat (Le havre) ; Evelyne Barbin (Nantes, R) ;  Clarisse Barthe (Toulouse 2) ; Natalia Bazoge (Grenoble) ; Amar Bennasroune (Reims) ; Sylvie Bepoix (Besançon) ; Cécile Bernard (Lyon 1) ; Noël Bernard (Chambéry) ; Anne-Marie Bernardi (Marseille, R) ; Laurent Berquez (Toulouse 3) ; François Bon (Toulouse 2) ; Stéphane Bonnéry (Paris 8) ; Patrick Bouchet (Dijon) ; Driss Boumeggouti (Toulouse 2) ; Nicolas Bourmeyster (Poitiers) ; Pierre Boutan (Montpellier, R) ; Fabrice Bouyssieres (Toulouse 2, R) ; Jean-Christophe Branger (Lyon 2) ; Jean-Luc Bretdibat (Toulouse 2) ; Françoise Brunel (Paris 1, R) ; Anne Buttard (Dijon) ; Thierry Cabioch (Poitiers) ; Emilie Cadez (Toulouse 2) ; Erwann Callarec (Toulouse 3) ; Marie Carcassonne (Paris-Dauphine) ; Sébastien Celles (Poitiers) ; Peggy Cénac (Dijon) ; Gérard Cendrés (Bordeaux, R) ; Marc Champesme (Paris 13) ; Hélène Chardin (Paris Cité) ; Dominique Charrier (Staps, Paris Sud) ; Marianne Charrier-Vozel (Rennes 1) ; Hervé Christofol (Angers) ; Pauline Collet (Toulouse 2) ;  ;<<Stéphanie Combettes (Toulouse 3) Sidoine Corbin (Paris 1) ; Muriel Coret (INSPE Poitiers) ; Pierre-Yves Cottet (Angers) ; Marie Cottrell (Paris 1) ; Carole Couegnas (Angoulême) ; Diana Cretu Millogo (Poitiers) ; Jérôme Deauvieau (ENS Ulm) ;  ;<Débat (Toulouse 2) Jean-Michel Delaplace (La Réunion) ; Marc Delepouve (Lille 1) ; Emmanuel De Lescure (Paris Cité) ; Serge Deneuvéglise (Lille) ; Jacqueline Descarpentries (Paris 8) ; Hervé  Diot (La Rochelle) ; Valentine Drevet-Benatti (Poitiers) ; Jean-Numa Ducange (Rouen) ; Christine Duprat (IUT Toulouse) ; Francis Dupuy (Toulouse 2, R) ;  Jean-Pierre Durand (Evry, R); Lionel Dutheil (Marne-la-V.) ; Rachid El-Guerjouma (Le Mans) ; Mohamed Embarki (Besançon) ; Aurélie Epron (Lyon 1) ; Nicolas Étique (Reims) ; Laurence Favier (Lille 3) ; Bruno Feral (Poitiers) ; Alexandre Fernandez (Bordeaux) ; Alain Ferrarini (Aix-Marseille) ; Antoine Ferry (Paris 1, R) ; Véronique Figini (ENS Lumière) ; Fabrice Flahutez (Saint-Etienne)  ; Sébastien Fontan (Toulouse 3) ; Didier Foucault (Toulouse 2) ; Daniel Frandji (Lyon 2) ; Olivier Frecon (Poitiers) ; Jean-Baptiste Fretigny (Cergy-Pontoise) ; Maryse Gadreau (Dijon) ; Estelle Galbois (Toulouse 2) ; Ghislaine Gallenga (Aix-Marseille) ; Yann Garcenot (Aix-Marseille) ; Alexandre Garcia (CNAM) ; Marie-Carmen Garcia (Lyon 1) ; Olivier Garet (U. Lorraine) ; Jean-Claude Garric (IUT Toulouse, R) ; Olivier Gebuhrer (Strasbourg, R) ; Mathieu Georget (IUT Saint-Nazaire) ; François Giligny (Paris 1) ; Zohra Guerraoui (Toulouse 2) ; Olivier Guerrier (Toulouse 2) ; Hervé Goldfarb (Lyon 2) ; Vincent Gouëset (Rennes 2) ; Raymond Grüber (Marne-la-V.) ; Fabrice Guilbaud (Paris) ; Jérémie Guiochet (Toulouse 3) ; Philippe Guy (INSA Lyon) ; Gaële Henri-Panabiere (Paris Cité) ; Michel Henry (Besançon, R) ; David Helbert (Poitiers) ; Maurice Hérin (Le Mans, R) ; Zakia Hidouche-Touati (UPEC) ; Emmanuel Huertas (Toulouse 2) ; Pierre Jardon (Grenoble, R) ; Gisèle Jean (Poitiers, R) ; Anne Joulain (Poitiers) ; Karl Joulain (Poitiers) ; Claudine Kahane (Grenoble, R) ; Malika Kaheraoui (Poitiers) ; Michel Kaplan (prof. émérite) ; Fabien Knittel (Besançon) ; Philippe Lagrange (Poitiers) ; Jean-Paul Lainé (Rouen, R) ; Eric Lamballais (Poitiers) ; Gilles Laschon (Tours) ; Daniel Lebaud (Besançon, prof. émérite) ; Eglantine Lecomte (Lyon 1) ; Florence Legendre, (IUT Auch) ; Michel Lehmann (Toulouse 2) ; Hervé Lelourec (Nantes, R) ; Pascal Lenoir (Angers, R) ; Arnaud Le Ny (Créteil) ; Isabelle Leroux (Angers) ; Sébastien Leurent (Dijon) ; Brigitte Lion (Paris 1) ; Jérémy Lothier (Angers) ; Isabelle Luciani (Aix-Marseille) ; Corinne Luxembourg (Paris 13) ; Gaël Mahé (Paris Cité) ; Alamin Mansouri (Dijon) ; Michel Maric (IUT Reims) ; François Martin (Toulouse 3) ; Cécile Mary Trojani (Toulouse 2) ; Véronique Maume (Lyon 1) ; Caroline Mauriat (IUT Aix-Marseille) ; Claude Mazauric (Rouen, prof. émérite) ; Simone Mazauric (Nancy, prof. émérite) ; Fanny Mazzone (Toulouse 2) ; Anne Mesliand (Aix-Marseille, R) ; Adriana Miele (Lyon 1) ; Jean-Michel Minovez (Toulouse 2) ; Guylaine Molina (AixMarseille) ; Benoit Montabone (Rennes 2) ; Florence Mouchet (Toulouse 2) ; Jean-Luc Nardone (Toulouse 2) ; Marc Neveu (Dijon) ; Emmanuelle Nigues (Créteil) ; Frédéric Noël (Grenoble) ; Line Numa-Bocage (Cergy) ; Mohamed Ouerfelli (Aix Marseille) ; Françoise Papa (Grenoble, R) ; Christine Peyron (Dijon) ; Vincent Peyrot (Marseille) ; Andreas Pfersmann (Tahiti) ; Marion Picker (Tours) ; Christian Pihet (Angers) ; Fabrice Planchon (Sorbonne U) ;  ;<<Frédérique Plantevin (Brest) Alain Policar (Limoges, R) ; Clotilde Policar (ENS Paris) ; Alain Portron (Le Havre, R) ; Michaël Pouzenc (Toulouse 2) ; Anne Raskine (Marne-la-V.) ; Yohann Rech (Staps, Rennes 2) ; Fabrice Reneaud (Toulouse 2) ; Luc Robène (Bordeaux) ; Anolga Rodionoff (Saint-Etienne) ; Éric Roditi (Paris Cité) ; Anne Roger (Lyon 1) ; Anis Rojbi (Paris 8) ; Marie-Bénédicte Romond (Lille 1) ; Stéphanie Rossano (Marne-la-V.) ; Philippe Rousseau (Lille 3, R) ; Bernard Roux (Lyon) ; Frédérique Roux (Rennes 2) ; Robert Ruiz (Toulouse 2) ; Laurent Saintis (Angers) ; Françoise Salardaine (Poitiers, R) ; Nicolas Sandeau (Marseille) ; Damien Sauze (Lyon 2) ; Jean-Pierre Sceaux (Le Havre, R) ; Can Selçuk (Marne-la-V.) ; Gaëlle Sempe (Rennes 2) ; Claude Seureau (Paris 6, R) ; Ariel Sevilla (Reims) ; Nicolas Sieffert (Grenoble) ; Thierry Simon (Toulouse 2) ; Philippe Sindzingre (Sorbonne U.) ; Liliane Sochacki (IUT, Toulouse 3) ; Gilles Tabourdeau (Poitiers) ; Najat Tahani (Le Mans) ; Stéphane Tassel (Marne-la-V.) ; Florent Tétard (IUT, Paris 13) ; Antoine Thepaut (INSPE Lille) ; Odile Thuilier (Marseille) ; Myriam Tsikounas (Paris 1) ; Gilles Uhlrich (Staps, Paris Saclay) ; Alet Valero (Toulouse 2, R) ; Bruno Vallette (Paris 13) ;  Aurélie Verney-Carron (Créteil); Marie-Jeanne Verny (Montpellier, R) ; Sandrine Vial (Versailles) ; Jean Vigreux (Dijon) ; Stéphanie Volteau (Poitiers) ; Katia Walker (IUT Toulouse, R) ; Philip Walker (IUT Toulouse, R) ; Alexandre Zimmer (Dijon)


webmaster Publié le : Vendredi 07 mars 2025 @ 10:09:24

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​textes_as Congrès d’orientation 2023 - Motion « Action Syndicale »

 

Rassemblé·es dans l’action pour lutter pour les acquis et gagner de nouveaux droits

Action syndicale, soutenue par la majorité des syndiqué·es au dernier congrès d’orientation, porte la vision d’un syndicalisme unitaire et rassembleur capable de convaincre un nombre croissant de collègues de s’engager aux côtés du SNESUP et de faire partager largement ses revendications pour défendre les acquis et gagner de nouveaux droits. Pour cela, elle œuvre à construire des convergences pour rassembler et pour que la parole du SNESUP soit largement entendue dans l’Enseignement supérieur et la recherche (ESR) et au sein de la FSU.


Root Publié le : Jeudi 06 avril 2023 @ 18:13:51

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​textes_as Notre motion 2021

Rassemblé·es dans l’action, imposons un projet pour l’enseignement supérieur et la recherche digne de nos missions

Défendre les collègues de plus en plus exposé·es aux dérives nationales et locales, quels que soient leurs situation et statut, susciter le débat, porter des analyses majoritairement partagées pour un projet émancipateur au service de la recherche et de la démocratisation de toutes les formations, combattre la précarité en revendiquant des recrutements statutaires au plus près de la thèse, des postes, une augmentation des salaires et des pensions de retraite : telle est la conception du syndicalisme de transformation sociale que portent les signataires de cette motion. Renforcer et faciliter la syndicalisation est indispensable pour rassembler et construire les convergences et les contre-offensives pour la défense de tous les services publics, notamment celui de l’ESR, de nos statuts et de nos métiers, de nos conditions de travail, de nos établissements et institutions. Le collectif est notre force. C’est ensemble que nous porterons un projet alternatif pour l’ESR. 


Root Publié le : Dimanche 28 mars 2021 @ 12:17:25

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​textes_as Notre motion 2019

 

Ces dernières années, les réformes ultra-libérales, destructrices et autoritaires, ont ouvert simultanément des fronts d'une rare brutalité sur lesquels le SNESUP-FSU s’est largement engagé. Dans ce contexte, le syndicalisme est fortement convoqué et contribue à mobiliser les collègues.

La Loi Orientation et Réussite des Étudiants (Parcoursup, réforme de la licence), la restructuration des sites via l’ordonnance «relative à l'expérimentation de nouvelles formes de rapprochement, de regroupement ou de fusion des établissements d’ESR », le gel croissant des postes éliminant de l’accès à l’emploi de MCF nombre de docteur·es qualifié·es et l’augmentation des droits d’inscription pour les étudiant·es extra-communautaires, préfigurent un modèle d’ESR ancré dans l’austérité et ouvert à la marchandisation.


webmaster Publié le : Mercredi 22 janvier 2020 @ 19:55:11